Toi qui me comprendrais, où es tu mon ami ?
Tu me manques et tu m'as toujours manqué depuis
Depuis qu'à l'aube grise de réflexions trop justes
Je sais ma différence et la vois chaque jour
Je suis comme un espèce inconnue anonyme
Curiosité béante aux yeux du scientifique
Personne n'a cerné cet être ahurissant
Il crève, délaissé, faute d'être compris
J'aurais tell'ment aimé être utile à quelqu'un
Pour un peu plus longtemps que l'heure évanescente
D'un service rendu au gré aléatoire
Des creux vagabondages où sombre qui je suis...
La bête est épuisée de ne pouvoir donner
La bête est épuisée de ne pouvoir savoir
Qui elle est, qui voudrait de l'inconnu rêveur,
qui comprendra un jour l'étrange phénomène ?
08 mars 2013
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire